Notre engagement en faveur de l’environnement

Un environnement intact est essentiel à tout individu. Il tient à nous de le préserver ou de le restaurer en faveur des générations à venir.

La pose de deux installations à eau de refroidissement au cours des années 1985, 1991 et 1992 a permis de réduire la consommation d’eau potable et donc la quantité d’eaux usées de 21 000 m³ par an. L’installation intégrée de récupération de chaleur permet un gain d’énergie primaire d’env. 18 000 litres de fioul par an.

Depuis 1993, Dentaurum utilise les eaux grises provenant du traitement de surface par le biais d’une installation d’eau sanitaire pour les toilettes. Environ 390 m³ d’eau potable sont ainsi économisés chaque année.

En 2002, le refroidissement permis par l’installation à eau de refroidissement du bâtiment I est augmenté de 40 kW. À pleine puissance de refroidissement, il est ainsi possible d’économiser environ 2800 m³ d’eau potable par an. Deux thermostats placés au poste de traitement chimique du bâtiment II permettent de réduire chaque année la consommation d’eau de 450 m³ supplémentaires.

Des citernes de recueil des eaux de pluie sont installées en 1995 à l’occasion de la construction du centre de perfectionnement CDC et en 2003 lors de la construction du centre de bureau et logistique. Les eaux de pluie contenues dans les citernes sont utilisées pour les chasses d’eau et l’irrigation des surfaces vertes.

En 2005, un autre thermostat est installé au sein du bâtiment de traitement chimique. Cette initiative permet d’économiser encore 250 m³ d’eau potable par an.

La gestion des déchets de Dentaurum est désigné par l’organisme compétent comme l’une des plus exemplaires de son temps. Nous recevons en 1991 le prix des déchets professionnels du canton d’Enzkreis.

Une réflexion intensive sur les possibilités d’optimisation des emballages et de prévention des conditionnements superflus ou complexes, ainsi que sur le recours à des matériaux pertinents d’un point de vue écologique et recyclables, selon l’état des connaissances à cette époque, a permis en 1992 de réduire drastiquement la quantité d’emballages :

• Carton d’env. 2800 kg
• Plastique d’env. 260 kg
• Mousse d’env. 50 kg
• Aluminium d’env. 2 kg

Dentaurum offre une large gamme de cinq masses de duplication hydrocolloïdes (Dublitop^®, Duplikat, Dubliform, Dublipast^® et DubliGel), et donc une alternative écologique et aussi économique aux masses de duplication de silicone. Les masses de duplication hydrocolloïdes se composent quasi exclusivement des produits naturels que sont l’agar-agar, la glycérine et l’eau, elles peuvent même être compostées après avoir été utilisées jusqu’à 30 fois.

Le Groupe de travail fédéral consacré à la gestion respectueuse de l’environnement B.A.U.M. est la première initiative écologique transpartisane du secteur économique et a été fondé dès 1984. Aujourd’hui, B.A.U.M. est avec plus de 700 membres le plus important réseau d’Europe en faveur d’une économie durable.

En 1995, Dentaurum instaure le système de gestion environnementale européen EMAS I et concrétise ainsi sa responsabilité à l’égard de la société : les entreprises certifiées EMAS apportent en effet une contribution efficace à la protection de l’environnement. Toutes les mesures environnementales de la consommation d’énergie aux déchets et aux émissions sont mises en œuvre de manière juridiquement efficace et transparente. Grâce au règlement EMAS, les entreprises sont en mesure d’économiser intelligemment des ressources.

En 1996, Dentaurum est pour la première fois certifiée conforme au règlement EG-VO 1836/93 (EMAS I) et fait ainsi partie des 300 premières entreprises industrielles d’Allemagne ayant mis en œuvre un système de gestion environnementale selon le règlement EG-VO 1836/93 (EMAS I).

En 1996, le premier bilan écologique Dentaurum est élaboré en coopération avec la Haute école technique de Pforzheim sous la direction du Professeur Dr Stehfest. Un bilan écologique se compose d’une part de l’analyse des flux de matières premières et d’énergie du système de production intégral, y compris l’ensemble des processus impliqués tout au long de la durée de vie d’un produit. Il intègre d’autre part le recueil systématique des émissions dans l’air, l’eau et le sol, ainsi que les ressources prises à la nature.

L’objectif de cette publication consiste à faire valoir les activités de gestion environnementale à titre de mesures incitatives à l’égard des acteurs économiques.

Le lancement et le maintien d’une certification environnementale couvrent :

• Le contrôle détaillé et, si nécessaire, l’optimisation ou le changement de tous les processus en termes d’impact écologique. L’individu humain faisant partie de l’environnement, Dentaurum accorde donc une attention particulière aux conditions de travail et élabore par exemple un cadastre du bruit des services internes et externes, et donc également hors du site de l’entreprise.
• Mesures régulières des émissions aux postes de travail afin d’y déceler la présence de solvants ou de vapeurs d’huile. Tous les services prennent part à la protection des eaux. Toutes les machines qui contiennent de l’huile sont posées sur des bacs de recueil en acier inoxydable, l’entrepôt des matières dangereuses est équipé d’un système de rétention de l’eau d’extinction et les eaux usées de l’installation de retraitement sont réutilisées après le nettoyage à titre d’eau sanitaire.

Ces optimisations des processus permettent de significativement réduire la quantité de déchets résiduels et d’améliorer l’efficacité énergétique. Ces mesures permettent de diminuer la consommation d’énergie, et donc de réduire l’effet nocif de la production à l’égard de l’environnement.

Les services administratifs peuvent aussi réaliser d’importantes économies en termes de consommation de papier. Un bilan entrée-sortie réalisé chaque année permet de comparer les données indiquées plus haut et est l’occasion pour la direction générale et les responsables de la production de déterminer les objectifs environnementaux à court et moyen terme.

La protection de l’environnement occupe aussi une priorité absolue dans la construction en 2003 d’un centre logistique ultra-moderne avec service administratif intégré. La conception selon le label Minergie permet de ne consommer qu’environ 30 % de l’énergie d’un bâtiment conventionnel. Une telle réduction est entre autres permise par une installation de climatisation écologique prenant la forme de tubes enterrés de plus de 330 mètres de long dans lesquels l’air est réchauffé en hiver et rafraîchi en été.

L’éclairage et le chauffage sont gérés dans les bureaux par le biais de détecteurs de présence. Le toit de l’entrepôt à rayonnages en hauteur de proximité est végétalisé de manière extensive et le service administratif accueille un vaste jardin aquatique de style asiatique qui, agréable effet secondaire, améliore encore de manière décisive le climat intérieur.

Le verdissement des toits commence en 2003. Depuis lors, plus de 3500 mètres carrés de toit font l’objet d’une végétalisation extensive et multicouche au site d’Ispringen, et notamment sur certaines parties du bâtiment administratif et le centre logistique.

La végétalisation extensive désigne l’aménagement d’espaces végétalisés sur les toits capables dans une large mesure de survenir à leurs propres besoins et de se développer. Outre les avantages architecturaux, comme l’amélioration de la protection contre les incendies et l’étanchéification des toits contre les intempéries, la végétalisation des toits joue aussi un important rôle dans la réduction des eaux usées. Une surface toujours plus importante étant recouverte de béton massif et imperméable, l’eau de pluie ne peut plus retrouver la nappe phréatique et est au contraire collectée par les canalisations. Ce phénomène se traduit à intervalles réguliers par des inondations, surtout en cas de précipitations importantes.

Une toiture végétalisée corrige ce problème car une grande partie des précipitations sont exploitées par les plantes, ce qui contribue au cycle naturel de l’eau. L’autre partie s’écoule avec un certain retard, ce qui soulage les canalisations et réduit le risque de crue.
Une toiture végétalisée a encore bien d’autres avantages écologiques : les toits verts sont des installations climatiques naturelles car la photosynthèse des plantes s’accompagne d’une évaporation de l’eau qui génère un agréable effet rafraîchissant. La nuit, l’eau se condense à la surface des plantes, ce qui génère de la chaleur.

L’évaporation naturelle de l’eau accumulée dans les toits végétalisés améliore le microclimat et assure ainsi une certaine climatisation et une humidification de l’air. Cet effet est surtout ressenti parmi les bureaux administratifs environnants. Tout au long de l’année, les plantes isolent du froid, de la chaleur et du vent, tout en assurant un certain équilibre des températures. Elles apportent ainsi une contribution significative aux gains d’énergie.
Les toits végétalisés filtrent entre 10 et 20 % des poussières fines présentes dans l’air et réduisent les substances nocives dans l’air et les précipitations. Ils agissent comme des isolants phoniques naturels et réduisent le bruit jusqu’à 8 décibels.

Ces toits contribuent aussi à la biodiversité, car les toits végétalisés aident à remplacer des espaces de vie pour les insectes et autres petits animaux détruits par l’urbanisation. À bien y regarder, on peut en effet voir que les toits de Dentaurum sont visités par différentes espèces d’abeilles sauvages, comme les bourdons, les guêpes et les abeilles solitaires, les azurés bleus, les demis-deuils et autres papillons, les fourmis, les coccinelles et les araignées ... Même l’argiope frelon, une des araignées endogènes les plus belles d’Allemagne, y a été observée. L’importante quantité d’insectes attire à son tour les oiseaux, comme les bergeronnettes et les rougequeues.

Ce prix symbolique récompense des prestations personnelles exceptionnelles et l’engagement individuel à l’égard de la protection de l’environnement en entreprise. Il honore un engagement de plusieurs années ainsi qu’une initiative exemplaire en faveur des innovations dans la pratique des entreprises qui constitue une contribution à un développement durable.

Des programmes de nettoyage spécifiquement coordonnés et personnalisables pour chaque lot peuvent être sauvegardés et mis en œuvre pour chaque groupe de produits. L’eau traverse ensuite une cascade en passant par trois cuves avant d’être filtrée et réutilisée.

L’usage parcimonieux de tensioactifs permet le plus grand bénéfice à l’égard de l’environnement. Le recours à d’importants filtres permet d’utiliser les substances lavantes pendant une durée nettement prolongée, ce qui réduit la quantité d’eaux usées. La chaîne de nettoyage est automatisée et détermine la consommation exacte de tensioactifs. Cela permet des résultats de nettoyage nettement améliorés et une qualité plus constante des produits.

La combinaison virtuelle des installations et la consolidation des multiples petits serveurs permet d’obtenir un minimum de grands serveurs, de réduire la complexité et d’améliorer l’infrastructure. La virtualisation du centre de données permet non seulement de réduire la consommation d’électricité, mais aussi et surtout de s’affranchir de la nécessité d’assurer une climatisation permanente du fait de la décongestion obtenue et du faible dégagement de la chaleur.

La centralisation du matériel serveur des dix filiales réparties à travers le monde permet de réaliser d’autres gains d’énergie. Ces serveurs sont contrôlés et gérés de manière centralisée à partir du centre de données de Dentaurum à Ispringen. Cette approche permet d’une part d’optimiser les coûts et d’autre part de poursuivre avant tout une gestion raisonnée de l’environnement et des ressources.

La technologie à condensation exploite non seulement la teneur en énergie (pouvoir calorifique) du carburant, mais aussi la vapeur d’eau contenue dans les gaz d’échappement. Cette technologie est une alternative efficace aux systèmes de chauffage ordinaires car elle utilise le carburant de manière optimale en maximisant ainsi la teneur en énergie et réduit donc la consommation de ressources fossiles.

Faisant face à un renforcement constant des exigences de qualité et à des normes toujours plus strictes en matière d’hygiène et d’absence de particules dans les dispositifs médicaux, Dentaurum a au cours des dernières années progressivement procédé à une modernisation fondamentale de ses installations de production.

Les matériaux métalliques utilisés sont nettoyés avant, pendant et après leur usinage. S’agissant en majorité de dispositifs médicaux, les exigences en termes de qualité de nettoyage sont très élevées.

Jusqu’à mi-2015, le dégraissage de ces matériaux se faisait dans une installation close qui travaillait à l’aide d’un détergent à base d’hydrocarbure chloré. Après l’avoir remplacée par une installation fonctionnant avec des hydrocarbures, il est désormais possible de renoncer entièrement aux HCC nocifs pour le nettoyage.

En décembre 2014, Dentaurum mène un sondage auprès des collaborateurs sur son site d’Ispringen afin d’analyser la quantité de CO₂ émise sur le trajet pour aller au travail. Cette enquête menée auprès d’environ 400 collaborateurs repose sur une analyse des codes postaux afin de déterminer l’éloignement du domicile par rapport au poste de travail. Les autres contenus se rapportent entre autres à l’utilisation de différents moyens de transport, comme le bus, le train, le vélo ou les véhicules privés. L’analyse permet de constater que plus de 90 % du personnel vit dans un rayon de 20 km autour du site de l’entreprise. Environ 80 % des collaborateurs se déplacent en voiture, 3,9 % prennent le scooter ou la moto, 8,6 % empruntent les transports en communs et 7,5 % prennent leur vélo pour aller au travail. Ces données ont permis de constater que l’ensemble du personnel émet environ 230 tonnes de CO₂ chaque année, ce qui correspond à environ 0,56 tonne d’émissions de CO₂ par collaborateur et par an.

Comment réduire les émissions de CO₂ sur le chemin du travail ?

En choisissant le bon moyen de transport ! C’est justement sur les trajets courts que les voitures, les scooters et les motos consomment beaucoup d’énergie et émettent une grande quantité de CO₂, ce qui se traduit par un bilan écologique négatif. La création de covoiturages permet par ex. aux collaborateurs de contribuer à réduire encore leur empreinte carbone. Le recours aux vélos électriques constitue une alternative pour les trajets courts. Les vélos électriques permettent une consommation minimale de CO₂, de leur fabrication à leur utilisation. Ils garantissent une mobilité respectueuse de l’environnement et durable tout en renforçant la santé. Le recours accru au télétravail peut constituer une autre modalité de réduction des émissions de CO₂ sur le chemin du travail. Le télétravail est associé à d’énormes économies potentielles en termes de CO₂, de temps de trajet, de coût de carburant et d’usure du véhicule. Le sondage réalisé est une première étape en vue d’élaborer de futures modalités de réduction du CO₂ sur le chemin du travail.

C’est avec le soutien de Dentaurum qu’un parcours de découverte forestier est créé en 2017 à Pforzheim. Ce parcours d’environ un kilomètre qui sert aussi de projet de formation pédagogique permet de découvrir un liquidambar, un paulownia, un orne et dix autres espèces d’arbre. Chaque arbre est muni d’un petit écriteau avec une description détaillée, ce qui permet aux personnes intéressées, aux habitants et aux classes d’école de découvrir ses origines et ses caractéristiques. Cet espace de verdure à Pforzheim est destiné à enthousiasmer les résidents, à faire se rencontrer les différentes cultures et à susciter le dialogue parmi les citoyens.   

De plus amples informations sont disponibles sur :
https://www.pforzheim.de/tourismus/sehenswertes-im-stadtbild/baumlehrpfad/ea-baumlehrpfad/article/detail/News/informationen-zum-baumlehrpfad.html

Pour la majorité des actifs, que cela soit au bureau, au site de fabrication ou à l’entrepôt, la majorité de la journée de travail a lieu entre quatre murs. Des températures agréables et un apport optimal d’oxygène contribuent de manière décisive à ce que les collaborateurs se sentent bien à leur poste de travail.

La fabrication de pièces et d’outils de haute précision exige par ailleurs une température constante pour pouvoir respecter certaines tolérances. Par l’investissement dans une nouvelle installation de ventilation, Dentaurum répond aux exigences accrues à l’égard d’un environnement de travail moderne. La nouvelle installation de ventilation peut nettement réduire les températures en été et consomme par ailleurs 20 % d’électricité en moins par rapport à son prédécesseur.

Dentaurum s'implique activement dans la protection de l'environnement depuis des décennies et poursuit constamment cette voie. L’élimination continue des articles à usage unique fait partie du concept au même titre qu’une fabrication économe en ressources. Le revêtement HLD innovant a rendu les piliers et coiffes de scannage encore plus durables. Stérilisés après leur utilisation, le titane qui les compose les rend robustes et stables, ce qui prolonge leur durée de vie en faveur de l’environnement.

Dentaurum développe ses ventes numériques et forme en continu ses représentants commerciaux. Les formations à la vente et les réunions se font aussi sous forme d’événements virtuels afin d’économiser du carburant. Les formations virtuelles du personnel économisent des ressources et permettent de gagner du temps.

Au cours des dernières années, la consommation de diesel des véhicules professionnels n’a cessé de diminuer. La vente hybride a fait ses preuves à titre de modèle de commercialisation réussi.

• Gaz naturel pour le chauffage
• Énergie électrique
• Diesel pour les véhicules de l’entreprise

La réduction des déchets est essentielle pour Dentaurum. Les matières premières sont onéreuses et génèrent une importante empreinte CO2. Il est donc important de minimiser la perte de matières premières, la prévention des déchets ayant la priorité absolue.

Parmi les mesures de mise en œuvre figurent l’amélioration du tri, la prévention du gaspillage, la sensibilisation du personnel ainsi que le contrôle. La quantité de déchets résiduels a pu être réduite en l’espace d’un an, de 2019 à 2020, de 37,5 %, et ce en recourant au chômage partiel, au télétravail et aux mesures indiquées plus haut.

Quantité de déchets à recycler

Dentaurum est membre depuis déjà 1995 du Groupe de travail fédéral sur la gestion respectueuse de l’environnement (B.A.U.M.).

Dentaurum est une entreprise certifiée conforme à la norme DIN EN ISO 14001 et au règlement EMAS depuis déjà de nombreuses années. Depuis déjà plus de trois décennies, Dentaurum optimise tous les processus de production et d’action en vue d’une gestion raisonnée des matières premières et de la protection de l’environnement.

Les certificats et la déclaration environnementale sont disponibles ici :
https://www.dentaurum.de/deu/profil-31434.aspx#umwelt
https://www.dentaurum.de/deu/profil-31434.aspx#certificates_environment